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mercredi 28 septembre 2011

La contestation du principe d’Einstein intéresse au plus haut niveau les banques. Celles-ci ponctionnaient les citoyens à la vitesse de la lumière, Hé bien il parait qu’elles peuvent faire plus vite encore.


Banques : Après septembre noir, c’est octobre rouge.

La contestation du principe d’Einstein intéresse au plus haut niveau les banques. Celles-ci ponctionnaient les citoyens à la vitesse de la lumière, Hé bien il parait qu’elles peuvent faire plus vite encore.

Ce mois de septembre a mis en évidence le rôle néfaste des banques sur l’économie mondiale. Les citoyens sont instruits de la réalité de la « crise de la dette ». Les pays ne sont pas au bord de la faillite, ils ont des ressources humaines et matérielles immense. Ce qui caractérise l’homme, c’est sa prodigieuse capacité d’adaptation.

Seulement comment peut-il s’en sortir si un système bancaire l’impose à 80% de ses ressources pour le paiement d’intérêts artificiels. C’est le même principe pour un pays ou pour un simple citoyen.

Septembre nous a apporté une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise, c’est que les banques tiennent tous les rouages de la société. La bonne c’est que, sans les banques, l’humanité repart sur de nouvelles bases, pour un avenir, peut-être pas radieux, mais tout au moins vivable.

Septembre a permis à notre association, l’APLOMB, de contourner la mollesse et l’inefficacité relative des procédures civiles pour mettre au point une riposte pénale beaucoup plus brutale. Ce ne sont plus que les directions des banques qui sont concernées, mais l’ensemble du personnel.

Septembre a été noir, octobre sera rouge.

Nous lançons en même temps 67 plaintes pénales pour délit d’usure contre 67 agences de 8 banques différentes. Les clients concernés se portent partie civile.

L’avantage de cette procédure, c’est la répartition des frais de justice sur l’ensemble des plaignants de chaque banque. D’autre part, vu le nombre, les plaintes iront jusqu’au bout.

Depuis 6 mois, lors des assignations civiles, les banques ont, très imprudemment, essayés de se défendre avec de malheureux arguments qui ne résistaient pas à un examen attentif et à la justesse et précision de nos plaidoieries.

Notre objectif est toujours le même : que les banques remboursent l’ensemble des différents frais d’intervention.

Je tiens à souligner l’admirable courage et la sublime détermination des membres de notre association. Sans eux, rien ne serait possible. Tous savent que les banques vont bientôt céder.

N’oublions pas notre serment, qui n’est pas une allégeance aux armes mais beaucoup plus un serment de Koufra : Nous cesserons le combat quand les comptes seront considérés comme un sanctuaire de la vie privée, et qu’aucun débit ne sera possible sans l’accord du client.

Et comme ça, les banques seraient en conformité avec la loi.

Gérard Faure-Kapper
www.aplombfrance.fr

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