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dimanche 13 novembre 2011

Trop riches pour être pauvres, trop pauvres pour être riches, les classes moyennes ne peuvent, mathématiquement, survivre au plan de rigueur.


Trop riches pour être pauvres, trop pauvres pour être riches, les classes moyennes ne peuvent, mathématiquement, survivre au plan de rigueur.

Les classes moyennes ont toujours été ponctionnées de partout. Leur grand tort, gagner de l’argent, être propriétaires, avoir une affaire ou un emploi. Elles n’ont jamais eu droit à la moindre aide, elles ne font pas partie des « personnes les plus fragiles » telles que définies par Bercy.

Alors, elles payent, elles payent et repayent. Sans pouvoir se plaindre et sans être représentées par le moindre pouvoir politique, le moindre parti ou le moindre élu. S’occuper des classes moyennes vous vaut immédiatement l’appellation de populiste, donc de fasciste.

D’après les statistiques, ces classes moyennes ont un budget suffisant pour vivre. C’est ne pas tenir compte des dépenses parasites et imprévisibles comme le racket des banques. C’est ne pas tenir compte non plus des crédits, véritable vérole des budgets. Et enfin, tient-on compte des différents retards de paiement ? Non bien-sûr.

Les classes moyennes sur lesquelles l’Etat compte entièrement pour financer les déficits, ces classes moyennes sont short petrol, exsangues, pompées de partout, elles n’ont plus aucune ressource et surtout plus aucune marge de manœuvre.

Souvent, elles sont propriétaires. Pas pour longtemps à ce rythme.

Non, les classes moyennes n’ont mathématiquement aucune chance de passer ce premier plan de rigueur qui sera suivi d’un second, après les élections.

Que se passe-t-il en Grèce ? la misère est de retour, les gens ne se soignent plus et un mal que l’on croyait disparu fait son grand retour : la malnutrition.

Les seules choses qui augmentent sont le trafic de drogue, la violence et la prostitution.

C’est cela qui nous pend au nez, et il n’y a aucun moyen de l’éviter.

A l’APLOMB, nous avons une réponse : neutralisez vos dettes par les voies judiciaires. En stoppant le racket bancaire et en imposant un réaménagement des crédits, vous aurez une chance de vous en sortir.

www.aplombfrance.fr

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