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lundi 12 décembre 2011

La date du 3 février 2012 a été fixée pour les dépôts de plaintes contre les banques pour délit d’usure.


La date du 3 février 2012 a été fixée pour les dépôts de plaintes contre les banques pour délit d’usure.

Le 15 pluviôse de l’an 220 de notre république, soit le 3 février de l’an de grâce 2012, nous déposerons dans tous les tribunaux de grande instance des centaines de plaintes pénales avec constitution de partie civile. Ces plaintes contre X seront en fait dirigées contre la plupart des établissements bancaires, commerciaux et mutualistes, par leurs clients et sociétaires.

Pourquoi cette date ? D’abord il s’agit de l’anniversaire de la victoire de Stalingrad, le tournant de la Grande Guerre Patriotique, qui a montré aux peuples que la défaite et la soumission ne sont pas inéluctables.

Il y a une autre raison. Instruire ce type de dossier prend beaucoup de temps. Il faut notamment reprendre sur Excel chaque écriture depuis 3 ans, reconstituer les soldes, connaître avec une précision d’horloger suisse, le taux réellement pratiqué par la banque. Ensuite, il faut rédiger la plainte pour qu’elle soit étudiée par nos avocats.

Nous sommes submergés par les demandes des clients et il a été nécessaire, avec les avocats, de monter une « chaîne de fabrication » efficiente et rapide. Merci à Frédérick Taylor et son OST. (Pour les avocats des banques, inutile de porter plainte contre lui, il est mort il y a près d’un siècle).

Ce mouvement d’opinion qui se nomme l’APLOMB, est maintenant suivi sérieusement par les hommes politiques, les institutions et organisations de consommateurs ainsi que par la presse libre.

En effet, à quelques mois des présidentielles, notre démarche va aboutir, pour les citoyens et les entreprises, sur non seulement l’arrêt des ces prélèvements énormes et illégaux, mais surtout le remboursement depuis 5 ans de ce qui a été versé.

En effet, si un homme politique promet une augmentation de l’ordre de 20% du pouvoir d’achat, un ballon d’oxygène dans la trésorerie des entreprises équivalent à une ou deux embauches, cet homme politique passerait pour le successeur de Paul Deschanel.

Une remarque sur cet homme qui fut Président de la République en 1920 et qui, semble-t-il, en a perdu la raison. Sur sa tombe, au cimetière de Montparnasse, est inscrite l’épitaphe suivante : « on n’emporte dans sa mort que ce que l’on a donné de son vivant ». J’aime beaucoup, mais revenons au sujet.

Pour conclure. Cette campagne menée depuis plus de deux ans ne vise aucunement à détruire le système bancaire, mais simplement pour qu’il exerce sa financière industrie dans le respect des lois républicaines qui s’imposent à tous.

Nous ne sommes pas juges mais exerçons notre droit de demander son arbitrage lorsqu’il existe des doutes graves et sérieux.

Prenez contact avec nous.
www.aplombfrance.fr
aplomb@laposte.net

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