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dimanche 19 février 2012

Pour qui les 3 millions de ménages surendettés doivent voter ?


Selon les chiffres, le nombre de ménages surendettés en France est de l’ordre de 3 millions. Ceci représente environ 10% du corps électoral.

Certes, 10% sont insuffisants pour faire élire son candidat, mais les suggestions données par celui-ci au second tour feront pencher la balance.

L’APLOMB a une manière originale mais terriblement efficace pour ramener l’endettement à un niveau tout à fait convenable et supportable. Nos réussites en ce domaine sont là pour en témoigner.

La méthode est basée uniquement sur l’application des lois républicaines.

1°) D’abord faire cesser les prélèvements bancaires illégaux et demander le remboursement de tous les frais depuis 5 ans.

2°) Examiner chaque contrat des organismes de crédit pour en traquer les failles juridiques. Le cas échéant, demander l’arbitrage des tribunaux pour faire annuler les dettes, ou tout au moins, les ramener dans de justes proportions.

Nous avons toujours affirmé que les citoyens doivent rembourser leurs dettes. Ce n’est pas à la communauté de financer les écrans plats et les séjours au ski.

Si les gens doivent rembourser leurs dettes, ce pour lequel ils sont tous d’accord, ils ne doivent pas rembourser 10 fois plus ou payer des taux d’intérêts à 3 chiffres.

Appliquons la loi, appliquons la loi, appliquons la loi. L’APLOMB ne sort pas de là.

Nous avons contacté tous les candidats qui peuvent compter dans cette élection, ou tout au moins, leurs équipes.

Je mets à part l’UMP qui a un discours très clairement en faveur de la continuité des pratiques bancaires illégales. Nicolas Sarkozy se présente lui-même comme le candidat du système financier. Libre à lui. En tout cas ça lui assurera les votes des employés de banque.

Tous les autres sont d’accord, mais restent très abstraits : « vaincre la finance internationale, lutter contre les banquiers, redonner le pouvoir aux gens, etc. »

Et ça se termine toujours de la même manière : « nous allons ouvrir de larges négociations avec le monde bancaire. »

Stop. On s’arrête là. Les banques sont hors la loi et nul ne peut négocier la loi. Point final. Si l’APLOMB discute avec des banquiers, ce sera par l’intermédiaire d’avocats et devant le juge.

Jacques CHEMINADE, que nous avons rencontré plusieurs fois, est le seul à être concret et à s’en remettre à l’arbitrage de la justice pour régler le problème du surendettement.

Son programme politique est d’une grande clarté en la matière puisqu’il préconise d’aller vers un monde sans Wall Street et la City.

Nous lui avons longuement exposé le combat de l’APLOMB. Il ne nous a effectivement pas attendus pour aller dans cette direction puisque notre combat était déjà inscrit dans son programme.

Nous retrouvons ainsi un écho dans le programme d’un candidat à l’élection présidentielle.

Mais, va-t-il atteindre le second tour, est-ce un vote utile ?

Les surendettés directement concernés par le combat de l’APLOMB représentent 10% du corps électoral.

N’en doutons pas, Jacques CHEMINADE saura « négocier » pour le second tour, cette volonté populaire d’un retour aux principes républicains de l’égalité devant la loi.

Un des deux finalistes devra s’engager clairement dans cette volonté.

Les trois millions de ménages surendettés verront ainsi leur problème se résoudre. Non seulement ils rembourseront normalement leurs dettes mais retrouveront des moyens pour vivre.

C’est pour cette raison que l’APLOMB s’engage clairement aux côtés de Jacques CHEMINADE.

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