Par Gérard Faure-Kapper
Hier,
le 17 juin, le 4ème tour a refermé le chapitre des élections de 2012.
Chacun s’est juré de faire, à la France, le don de sa personne et tout le monde
retourne au travail.
Pendant
cette période de 6 mois, l’APLOMB a rencontré les partis et beaucoup de candidats
pour les sensibiliser à la réalité du problème de la dictature financière.
Pour
résumer, personne ne compte s’attaquer de face au système bancaire et chacun
préfère s’engager sur le chemin d’une collaboration franche et loyale.
Ainsi,
ils admettent que les lois ne sont pas applicables par tous et que les banques
disposent d’un « statut légal spécial », c'est-à-dire un privilège.
Ainsi,
ils livrent tous les citoyens, particuliers, commerçants, artisans,
professionnels, entrepreneurs, communes, collectivités locales, au système bancaire.
Il est ainsi libre de ponctionner, selon son bon plaisir, un nouvel impôt extrêmement
lourd et qui sera fatal pour l’économie.
Cette
occupation du territoire que ni la complaisance du gouvernement ni la
démission des parlementaires ne pourra refreiner, doit interpeller chaque
Français libre sur son devoir citoyen.
Comment
cette résistance doit se concrétiser ? Aucune négociation possible avec l’ennemi
tant que celui-ci ne respectera pas les lois.
Chacun
doit donc le trainer devant les tribunaux. La justice est ainsi devenue le
dernier rempart des valeurs républicaines.
L’APLOMB
a travaillé sur le point crucial : le coût des poursuites judiciaires. Il
a été rejoint par une avocate que l’on peut considérer comme une des meilleures
de France en la matière.
En
organisant le coaching judiciaire, les prix des poursuites ont été divisés par
10 sans que l’efficacité de la précision du dossier n’en souffre.
En
diffusant ces méthodes conformes à la déontologie de la profession, ce sont des
armes que l’on parachute et un espoir que l’on redonne à ceux qui ont tout
perdus.
L’APLOMB
se consacre maintenant au travail quotidien sur les dossiers. L’heure du
militantisme associatif est passé. C’est à un travail de fourmis que nous nous
attelons.
www.aplombfrance.fr
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