Par Gérard Faure-Kapper
Nostalgie
du règne des Plantagenets, revanche sur Azincourt, suite du procès Jeanne d’Arc,
pourtant reconnue coupable d’hérésie, d’apostasie, impie, relapse et tenant
commerce avec le Malin.
En
tout cas, la Banque Populaire a une sacrée dent contre l’Anglois,
notre ennemie héréditaire.
C’est
pour cette raison que, lorsqu’un sujet de sa gracieuse majesté débarque dans la
région, la machine à arnaquer se met en branle.
Un
ressortissant britannique se présente à la Banque Populaire. Il souhaite
investir dans la région, en achetant plusieurs appartements. Il dispose d’environ
500.000€ et demande l’équivalent remboursable en 20 ans.
Il
faut préciser que le niveau de français de cet homme reste très scolaire. Ce
type de contrat comporte des termes et des clauses très subtiles. La Banque
Populaire aurait dû, soit s’adjoindre les services d’un interprète, soit l’exiger
du client.
Non,
au contraire, la Banque Populaire en profite.
« But
cher monsieur, faire un crédit, it’s no possible in French country. Vous devez
emprunter the totality of the money, and souscrire one assurance vie pour
rembourser the accound in the end of this operation. »
« Alors,
vous allez emprunter one million dollars baby and souscrire one assurance vie
pour 500.000 oillros. »
« This
placement is absolument sur and vous ne risquez rien, you aurez much interets
pour rembourser le crédit in the end. »
Ce
qui fut dit fut fait. Notre client est ressorti de l’agence avec un placement
miracle de 500.000 euros.
Deux
ans plus tard, l’agence de la Banque Populaire devait être en retard sur sa
production de fonds ODEIS. C’est un placement risqué qui ne se propose pas à n’importe
qui, mais par contre, les commissions pour la Banque Populaire sont très
importantes.
Le
service marketing a effectué un « scoring » pour déterminer le « meilleur
cœur de cible ». Et le gagnant est…. Wellington.
Oui,
mais lui présenter un fond risqué pour garantir un crédit, il ne sera pas
forcément d’accord.
Tel
Du Guesclin, le chargé de clientèle ourdit un plan diabolique pour attirer l’Anglois
dans un guet-apens.
1ère
phase. Il lui fait signer un ordre d’arbitrage pour souscrire 10% de son
placement dans un placement plus risqué.
Voici
l’ordre.
Puis
il en fait souscrire un second plus précis avec toujours 10% du placement.
Après
le départ du client, le machiavélique pris son stylo pour modifier l’ordre du
client, et transformer le 10% en… 53%
Voici
le document modifié. Et en plus, c’est du travail de cochon.
Résultat,
le client a perdu un maximum et la Banque s’est faite un maximum de commission.
Inutile
de vous dire qu’une plainte est déposé en pénal pour faux et usage de faux
contre la Banque Populaire.
Autant
dire qu’il faut se préparer à un nouveau Waterloo.
salopard de banquier vereux...j'espère que cette affaire sera portée en public car c'est vraiment une honte et un scandale d'avoir cette position dominante qui leur permet une telle escroquerie ., grossière en plus !!
RépondreSupprimertout a fait d'accord avec vous pour la bonne raison d'etre a la casserole copieusement passé , j'y ai laissé une grosse partie de mon blé , année 1999 dans le piège a Cons des actions ils m'avaient attiré , mais c'était avec les autres enfoirés associés de la "caisse d'épargne" alias "caisse a entuber" ! a l'agence je leurs ai dit avec moi vous étes tombés sur un clou rouillé et je ne vais pas vous lacher , en 3 jours les coups ne vont pas porter mais peut etre bien un jour ça pourrai cogner , avec la certitude de vous en avoir déjà pas mal enlevé sous les pieds , ce sont les concurrents qui doivent se les frotter ! groupe B.E.P.C. c'est + de 3 millions de spoliés a divers degrés ! heureuse expérience personnelle + plus multiples informations collectées sur le net pour confirmer !
RépondreSupprimerNous avons avec les banques plus que touché le Fond!! on a carrément commencé à creuser !
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