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lundi 2 février 2015

Comment la Banque Populaire Centre Atlantique arnaque ses clients britanniques.




Par Gérard Faure-Kapper

Nostalgie du règne des Plantagenets, revanche sur Azincourt, suite du procès Jeanne d’Arc, pourtant reconnue coupable d’hérésie, d’apostasie, impie, relapse et tenant commerce avec le Malin.

En tout cas, la Banque Populaire a une sacrée dent contre l’Anglois, notre ennemie héréditaire.

C’est pour cette raison que, lorsqu’un sujet de sa gracieuse majesté débarque dans la région, la machine à arnaquer se met en branle.

Un ressortissant britannique se présente à la Banque Populaire. Il souhaite investir dans la région, en achetant plusieurs appartements. Il dispose d’environ 500.000€ et demande l’équivalent remboursable en 20 ans.

Il faut préciser que le niveau de français de cet homme reste très scolaire. Ce type de contrat comporte des termes et des clauses très subtiles. La Banque Populaire aurait dû, soit s’adjoindre les services d’un interprète, soit l’exiger du client.

Non, au contraire, la Banque Populaire en profite.

« But cher monsieur, faire un crédit, it’s no possible in French country. Vous devez emprunter the totality of the money, and souscrire one assurance vie pour rembourser the accound in the end of this operation. »

« Alors, vous allez emprunter one million dollars baby and souscrire one assurance vie pour 500.000 oillros. »

« This placement is absolument sur and vous ne risquez rien, you aurez much interets pour rembourser le crédit in the end. »

Ce qui fut dit fut fait. Notre client est ressorti de l’agence avec un placement miracle de 500.000 euros.

Deux ans plus tard, l’agence de la Banque Populaire devait être en retard sur sa production de fonds ODEIS. C’est un placement risqué qui ne se propose pas à n’importe qui, mais par contre, les commissions pour la Banque Populaire sont très importantes.

Le service marketing a effectué un « scoring » pour déterminer le « meilleur cœur de cible ». Et le gagnant est…. Wellington.

Oui, mais lui présenter un fond risqué pour garantir un crédit, il ne sera pas forcément d’accord.

Tel Du Guesclin, le chargé de clientèle ourdit un plan diabolique pour attirer l’Anglois dans un guet-apens.

1ère phase. Il lui fait signer un ordre d’arbitrage pour souscrire 10% de son placement dans un placement plus risqué.

Voici l’ordre.




Puis il en fait souscrire un second plus précis avec toujours 10% du placement.

Après le départ du client, le machiavélique pris son stylo pour modifier l’ordre du client, et transformer le 10% en… 53%

Voici le document modifié. Et en plus, c’est du travail de cochon.





Résultat, le client a perdu un maximum et la Banque s’est faite un maximum de commission.


Inutile de vous dire qu’une plainte est déposé en pénal pour faux et usage de faux contre la Banque Populaire.


Autant dire qu’il faut se préparer à un nouveau Waterloo. 

3 commentaires:

  1. salopard de banquier vereux...j'espère que cette affaire sera portée en public car c'est vraiment une honte et un scandale d'avoir cette position dominante qui leur permet une telle escroquerie ., grossière en plus !!

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  2. tout a fait d'accord avec vous pour la bonne raison d'etre a la casserole copieusement passé , j'y ai laissé une grosse partie de mon blé , année 1999 dans le piège a Cons des actions ils m'avaient attiré , mais c'était avec les autres enfoirés associés de la "caisse d'épargne" alias "caisse a entuber" ! a l'agence je leurs ai dit avec moi vous étes tombés sur un clou rouillé et je ne vais pas vous lacher , en 3 jours les coups ne vont pas porter mais peut etre bien un jour ça pourrai cogner , avec la certitude de vous en avoir déjà pas mal enlevé sous les pieds , ce sont les concurrents qui doivent se les frotter ! groupe B.E.P.C. c'est + de 3 millions de spoliés a divers degrés ! heureuse expérience personnelle + plus multiples informations collectées sur le net pour confirmer !

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  3. Nous avons avec les banques plus que touché le Fond!! on a carrément commencé à creuser !

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