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mardi 2 février 2016

Frais d'intervention: le débat que les banques craignent DOIT AVOIR LIEU.


Par Gérard Faure-Kapper

La Banque populaire de l'Ouest vient encore de le prouver dans un courrier: ils n'ont aucun argument à opposer au raisonnement de l'APLOMB démontrant l'illégalité des frais d'intervention.

Lâchement, les banques se réfugient derrière le coût et la longueur des procédures. Le temps leur permet ainsi d'achever leur client en lui supprimant ses découverts et en clôturant le compte.

Toutes ces mesures de représailles, allant jusqu'à prendre en otage les comptes des membres de la famille, démontrent le désarroi des banques.

Si les banques reconnaissent le bien fondé de mon raisonnement, c'est le remboursement de tous les frais d'intervention depuis l'ouverture. Pour les particuliers, c'est une moyenne de 3.000€ de remboursé et pour les professionnels, environ 10.000€.

Les juges aimeraient bien nous suivre, mais la question est très technique et ils sont souvent désappointés par l'extrême arrogance des avocats des banques.

Alors, il faut un débat public.


Si la Banque Populaire de l'Ouest en a le courage, si elle a les personnes capables de défendre l'escroquerie financière du siècle, si elle a des avocats capable d'affronter la nôtre, Katia Debay, alors la Banque Populaire de l'Ouest doit accepter ce débat.

En Mayenne, le sujet s'étale dans la presse, Ouest France et le Courrier de la Mayenne. Les politiques sont au taquet sur le sujet, la Banque de France, la CAF et les organismes sociaux veulent des réponses. Les autorités consulaires, les associations de commerçants et artisans, les organisations paysannes veulent des réponses.

Et les juges veulent aussi des réponses. Les dossiers arrivent et s'accumulent.

Quels sont les arguments que la Banque Populaire de l'Ouest va opposer pour contredire l'APLOMB;

C'est la relance économique de la Mayenne, puis de la France qui sont en jeux.

Messieurs de la Banque Populaire de l'Ouest, vous n'avez pas d'autre choix que d'accepter ce débat avec l'APLOMB.

Je propose un débat à 4. Je viens avec Katia Debay et vous m'envoyez un technicien (niveau directeur d'agence) et un avocat.

Ce débat peut être en petit comité, en présence de juges, d'avocats, de politiques et de toute personne œuvrant dans le social.

Il peut aussi avoir en public, ou mieux encore, à la radio.

En tout cas, il aura lieu. Vous serez invité. Si vous refusez ce débat, chacun en tirera les conséquences.

Nous sommes entre gentleman, mais ça peut devenir la salle Wagram.


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