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mercredi 16 mars 2016

Commissions d'intervention: nous invitons la Banque Populaire à débattre à la TSF


Par Gérard Faure-Kapper

Alors que les affaires d'usure s'accumulent sur le bureau de l'APLOMB, alors que l'Ouest s'enflamme en prenant conscience des agissements de leurs banques, tandis que notre Virée de Galerne stationne en Mayenne, l'APLOMB propose un cessé le feu a son principal adversaire, la Banque Populaire de l'Ouest.

Les commissions d'intervention provoquant des pratiques usuraires. Une pratique délictueuse contre les particuliers et un sabotage économique inadmissible, inacceptable et insupportable..

Non seulement les clients comprennent parfaitement le mécanisme de cette extorsion de fonds, mais les juges l'ont également bien assimilé.

Par contre, les avocats des banques rament désespérément pour faire valoir la défense malheureuse des banques. Celles-ci en sont réduites à pratiquer une répression et des représailles sur ceux qui oseraient réclamer.

C'est dans ce contexte que l'APLOMB offre un cessé le feu à la Banque Populaire de l'Ouest. C'est un geste généreux qui leur évitera de mobiliser leurs forces dans des procès perdus d'avance.

Un radio de la Mayenne a accepté le principe d'un débat sur ce sujet entre vous et moi. Un débat courtois qui serait également filmé et largement diffusé sur les réseaux sociaux, notamment Youtube.

Messieurs les dirigeants de la Banque Populaire, je vous demande instamment d'accepter cette offre. Un refus de votre part serait incompris, non seulement des citoyens, mais aussi des responsables politiques, des autorités consulaires, des élus régionaux, départementaux et municipaux, des chefs d'entreprise, et surtout des juges devant arbitrer ces litiges. 

Oui, ce sujet est maintenant largement débattu dans tous ces milieux. Vous ne pouvez refuser ce débat.

Excusez-moi une vieille manie qui est de faire des rapprochements historiques aux situations actuelles.

Vous les banquiers, vous êtes dans la situation des Français en Indochine. Vous vous êtes retranchés dans un site imprenable à Dien Bien Phu, Vous tenez solidement les collines entourant cette vallée. Vous leur avez même données des prénoms féminins charmants, Eliane, Béatrice, Anne-Marie, Huguette, Dominique...

Vous avez estimé impossible pour ces foutus petites fourmis du Viet Minh d'approcher et surtout d'installer des pièces d'artillerie dans la jungle environnante.

Vous les banques, vous êtes ces Français. Pourtant, si vous tendiez l'oreille, vous entendriez ce peuple de fourmis s'activer et œuvrer pour votre destruction.

L'assaut débuta le 13 mars 1954, il fut terrible et le camp tomba le 7 mai.

Mais attendez vous à savoir que, quelques jours avant ce 13 mars, le petit retoucheur de photo parisien qui s'appelait N'Guyen mais qui était connu sous le nom de Hô Chi Ming, avait fait une offre de paix au Français au travers d'un article dans un journal suédois.

La réponse des Français à cette main tendue fut "On ne fait pas de politique avec des petites annonces..."

Le lendemain Béatrice croulait sous les obus. C'était le début de la fin.

Aujourd'hui, je suis cette main tendue par l'oncle Hô.




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