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lundi 26 février 2018

Le Crédit Agricole renonce à l'intelligence artificielle au profit de la bêtise naturelle.



Par Gérard Faure-Kapper

Le sergent Thenardier, cabaretier de son état à Montfermeil, un personnage haut en couleur, pas très reluisant des "misérables".

Thénardier inspire les banques aujourd'hui.

Les banquiers savent que, sous les coups de butoir de l'APLOMB, leur position est intenable.

Seulement, les banquiers perdent tous les procès engagés par l'APLOMB.


Alors, il faudra remplacer les commissions d'intervention par des frais fantaisistes, de manière à "saler la facture du client avant son départ"

"Bon aubergiste allège les bourses
grosses ou petites des touristes en route
cabaretier honnêtement.
sait monnayer la soif du passant
et faire tout payer par le voyageur
jusqu'aux mouches que son chien gobe dans le secteur"


Le meilleur exemple est "de savoir, combien l'ombre use le miroir"

Ainsi le Crédit Agricole veut évaluer combien l'électricité use les fils de l'ordinateur et les circuits imprimés.

Cette banque mutualiste, probablement pour occuper son personnel qu'elle ne veut pas licencier, a recréé un poste qui avait disparu depuis 1972:

"Détecteur de mensualité impayé".

A l'époque, c'était un aide comptable qui pointait les cartes perforées des clients pour en détecter les retards de remboursement.

Depuis 1973, c'était l'ordinateur qui les détectait en fournissant un listing des impayés.


Eh bien le Crédit Agricole revient 50 ans en arrière.

Parce que je lis sur l'extrait de compte d'un client:

FRAIS DE DETECTION DE RETARD PRET;   24€70

Bien sûr, c'est en plus de la myriade d'autres frais prélevés autour de cet évènement.


La Banque Populaire fait de même pour les chèques en attente de paiement pendant 4 jours du fait de l'obligation MURCEF

FRAIS DE MISE EN ATTENTE;   9€


Ainsi la Banque Populaire a réussi à connaitre le coût d'une écriture en stationnement dans son réseau électronique.


Sergent Thénardier, tu as enfin trouvé tes maîtres.














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