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mardi 7 juin 2011

Parce que le monde bouge... nouvelles méthodes de prélèvements illégaux.




Une cliente a son compte à Ivry sur Seine. Pour raison de déménagement, elle le transfert à Colmar. Le compte d’Ivry est donc fermé.

Plus tard, un chèque de 107 euros, que le bénéficiaire avait tardé à présenter, se présente sur le compte d’Ivry. Alors que cette agence a tous les renseignements, elle refuse le chèque.

La cliente, prévenue par son agence, vire immédiatement les 107 euros afin que cette provision soit bloquée, conformément à la loi.

L’agence d’Ivry a, par ailleurs, facturé des frais important à cette cliente. C’est d’ailleurs pour pouvoir facturer qu’elle n’a pas prévenu sa cliente.

La Cliente n’ayant plus de compte, et au lieu de lui envoyer lesdites factures pour règlement, le CIC d’Ivry se sert directement sur le compte séquestre, de la manière la plus illégale.

Le chèque de 107 euros est donc de nouveau présenté par le bénéficiaire. Évidemment, les fonds déposés sur le compte séquestre n’existent plus. La banque les a détournés.

Donc le CIC d’Ivry refuse de nouveau le chèque et bien sûr, facture de nouveaux frais.

Ils demandent donc à la cliente de payer une seconde fois les 107 euros et de déposer les fonds sur un compte séquestre.

Celui-ci servira à la banque pour prélever une troisième fois les frais et ainsi de suite. Quand la somme sera suffisamment importante, ils enverront une Société de recouvrement pour terroriser la cliente et la faire encore et encore payer.

Cette affaire est courante en France. Une seule réponse s’impose : une plainte pénale directement contre le personnel concerné. Le résultat est très efficace. La Direction charge et lâche l’employé concerné et rembourse le client.

… parce que le monde (des consommateurs) bouge.

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