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vendredi 30 décembre 2011

Liberté de la presse. C’est trop tard, la dictature financière en a pris directement le contrôle.


Liberté de la presse. C’est trop tard, la dictature financière en a pris directement le contrôle.

Ce qui différencie un régime libre et une dictature, le fascisme et la démocratie, c’est la liberté de la presse.

Tout régime qui veut faire main basse sur un pays prend d’abord le contrôle de la presse.

La révolution de 1789 a pu se réaliser grâce à la liberté de la presse. C’est à « L’Ami du peuple » de Marat, au « Vieux cordelier » de Desmoulin ou encore au « Père Duchêne » d’Hébert que nous devons nos libertés, foutre !

Une organisation « reporter sans frontière » se bat et ses militants meurent à travers le monde pour assurer cette liberté de presse.

Malheureusement, cette organisation a oublié de regarder ce qui se passe à l’intérieur de nos frontières.

Mais la presse française est libre, va-t-on me rétorquer.

Une question : qui menace le plus les libertés publiques ? Les banques. Qui se permet de violer la loi chaque jour ? Les banques. Qui ponctionne des milliards sur les citoyens chaque année comme un nouvel impôt ? Les banques. Qui maîtrise totalement l’économie, notamment en préférant jouer l’épargne à l’autre bout du monde plutôt que de l’investir dans les entreprises génératrices d’emplois ? Les banques.

Je vais paraphraser le discours de Bertrand Barère de Vieuzac à la Convention en 1793 : « écrasez les banques, et le peuple verra son pouvoir d’achat augmenter de 20%, écrasez les banques, et les commerçants et artisans auront un ballon d’oxygène dans leur trésorerie, écrasez les banques et les entreprises pourront embaucher au moins une personne grâce aux économies réalisées, écrasez les banques, et la consommation est relancée pour des produits fabriqués en France, écrasez les banques et des millions de Français ne vivront plus sous la terreur des huissiers. »

Oui une dictature financière dirige notre pays, et cette dictature a pris le contrôle de la presse. Non, nous ne sommes plus libres.

Entre autre, le Crédit Mutuel est propriétaire des journaux suivants :

L’Est Républicain,
L'Alsace-Le Pays,
Le Républicain Lorrain,
Le Progrès,
Le Dauphiné libéré,
Le Journal de Saône-et-Loire,
Le Bien public,
Vosges Matin,
Les Dernières nouvelles d'Alsace.


De plus, la CNIL a découvert que les journalistes du groupe ont accès à une quantité impressionnante d’informations sur les comptes des clients de cette banque, ce qui est en plus une violation délibérée du secret professionnel.

Comment le peuple peut réagir contre cette banque mutualiste. Les dirigeants du haut de leur tour d’ivoire méprisent souverainement ces microbes que sont les clients.

Si les financiers avaient quelques notions de médecine, ils sauraient que les microbes sont invisibles et vous bouffent de l’intérieur en s’attaquant aux organes vitaux.

Et chez eux, ce sont les administrateurs bénévoles dans les Caisses Locales qui sont les plus vulnérables.

Bientôt à leur siège ils recevront ce type d’appel : « Allo… oui, c’est madame **bip**, mon mari est le président de la Caisse Locale de **bip**, les gendarmes sont venus ce matin, il est en garde à vue… oui, ils l’accusent de délit d’usure… il ne savait pas qu’il était responsable de ce que fait le directeur de sa Caisse Locale… Comment ? Vous ne pouvez rien faire pour lui ? Comment ça vous êtes désolés… Allo ! Allo ! bip, bip, bip, bip, bip, bip… »

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