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mardi 13 octobre 2015

CREDIT MUTUEL, ce qui va changer dans les Caisses Locales avec l'APLOMB


Par Gérard Faure-Kapper

Le problème des banques françaises peut se résumer au manque d'alternative.

Aucune banque n'est mieux qu'une autre. Le système de racket des clients les plus vulnérable est le même partout.

Pourtant, les choses vont changer au Crédit Mutuel, dans les Caisses Locales où l'APLOMB exercera une influence.

Certes, la gestion quotidienne de la banque restera identique. Chacun continuera son travail.

La différence portera sur une résolution en trois points qui sera adoptée par les Conseil d'Administration. Trois mesures qui paraîtront révolutionnaires mais qui seront tout simplement logiques.


Suppression des Commissions d'Intervention


Suppressions des lettres facturées


Compétence des Conseils d'Administrations pour régler les litiges. 


Voici le détail.

Suppression des Commissions d'interventions.

Ces commissions rémunèrent l'intervention d'un agent pour étudier la situation d'un compte afin d'autoriser un découvert supplémentaire pour honorer une écriture.

Cette commission légitime alourdit le coût du découvert. Ce coût, exprimé dans un rapport proportionnel fait ressortir une Taux Effectif Global usuraire.

Et la Caisse Locale ne peut accepter cette situation délictueuse.

 Suppressions des lettres facturées.

Pour des raisons de modernité, les banques suppriment progressivement les extraits de compte papier pour laisser l'option électronique.

Les lettres de rappel d'un solde débiteur n'ont donc plus de raison d'être. Jadis, lorsque la banque envoyait un extrait mensuel, les clients pouvaient être rappelés à l'ordre.

Aujourd'hui, c'est très différent. Chacun peut consulter quotidiennement son compte sur internet. Il est donc bien au courant d'une position débitrice.

Pourtant les banques conservent la traditions des lettres de rappel.

Pourquoi ? Parce que la banque les facture près de vingt euros. C'est devenu une source importante de profit non justifié et une manière d'infliger une sanction financière au client.

Compétence des Conseils d'Administrations pour régler les litiges. 

Aujourd'hui, une réclamation est traitée par un service interne ou un médiateur désigné par la banque. Cela n'a pas de sens, la banque ne peut se déjuger sur ses actions.

Il est dans le champ de compétence du Conseil d'arbitrer sur ces réclamations, notamment celles concernant les commissions d'intervention. En effet, si le client demande l'arbitrage de la justice, c'est bien le Président du Conseil qui sera responsable. Alors, autant qu'il soit au courant.

Ces trous mesures seront proposées aux Conseils d'Administration des Caisses Locales. Si ces Conseils, représentant les intérêts des Sociétaires, refusent de les adopter, alors ce sera aux Sociétaires de virer ce Conseil indigne et de le remplacer par des représentant plus responsables.

Ceci en votant non au quitus lors de l'assemblée générale.






1 commentaire:

  1. il faut arrêter les conneries : ARKEA et les fédérations de Bretagne et d'Alsace sont en guerre. des FCP luxembourgeois et autres placements sont proposés à des clients selectionnés. Bref Blanchiment et évasion fiscale sont une stratégie gagnatne (pour le Crédit mutuel).

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