C’est
l’évidence, la crise a brisé toutes les boussoles et vous dirigez votre
entreprise à vue.
Votre
réserve de carburant baisse à vue d’œil et les sirènes font leur apparition.
« Viens,
suis-nous, écoute notre chant enjôleur… »
Ces
créatures habitent la chambre du commerce et le tribunal du même nom. Elles se
nomment banquier, comptable, mandataire, liquidateur…
Elles
vous promettent un redressement, la poursuite de votre activité, des
moratoires, des aides diverses.
L’état
est de la partie. « On vous sauvera quoi qu’il en coûte, l’argent magique
coule à flot, viens, viens… »
Ainsi,
en écoutant leur chant maléfique, vous foncez toutes voiles dehors, vers les
récifs où votre entreprise se fracassera.
Et n’imaginez
pas que votre responsabilité personnelle ne sera pas engagée. Il y a milles
manières de le faire.
Un
exemple : votre premier réflexe est de puiser dans votre épargne pour
renflouer votre trésorerie.
Tragique
erreur, vous venez de faire un « soutien abusif » qui risque de vous
engager à renflouer le passif avec vos affaires personnelles.
Vous
êtes un pro dans votre métier, mais « vous allez avoir affaire aux
vicieux, pas ceux que vous connaissez habituellement mais les vrais. Ils vont
vous becqueter tout cru les vilains… »
(encore Audiart).
La
parade, c’est de vous former rapidement. Une formation rapide et adaptée sur 2
ou 3 jours. Ça ne vous coûtera rien si vous avez un compte individuel de
formation, et ça vous rapportera (très) gros.
Vous
pouvez nous contacter sur : syndicatfrancetpebanque@gmail.com
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