Dans une
affaire aussi mystérieuse que choquante, une banque de Tulle est maintenant
au cœur d'une tempête financière. Des révélations fracassantes émergent,
accusant la banque d'avoir prélevé une moyenne ahurissante de 1.371€ de frais
par an, pendant cinq années consécutives, à l'encontre d'une petite boulangère
de Corrèze.
Les charges
astronomiques imputées à la boulangère sont directement liées à des découverts
ponctuels accordés par la Banque, jetant une ombre sombre sur les pratiques
bancaires. Ces frais non seulement ont considérablement alourdi le coût des
découverts, mais ont également fait grimper mécaniquement le TAEG (Taux Annuel
Effectif Global).
Pour
maintenir une façade de conformité, la banque aurait plongé dans les profondeurs
de la tromperie en manipulant l'algorithme du programme chargé du calcul et de
l'affichage du TAEG. L'objectif présumé : éviter de présenter un TAEG excessif,
souvent en violation du seuil de l'usure.
L'analogie
avec le scandale du DieselGate ne peut être ignorée. La
justice, alertée par ces révélations troublantes, a été saisie pour examiner de
près cette manipulation du programme. Les enjeux sont considérables, et des
poursuites seront engagées contre cette banque malfaisante.
Au cœur de
cette saga financière, la boulangère réclame justice. Elle
exige le remboursement intégral de ces frais exorbitants, s'élevant à la somme
édifiante de 6.857,90€. L'ombre du scandale plane sur cette banque, alors que
les détails de cette affaire captivante se dévoilent au grand jour.
Le 22 mars
2023, cette boulangère avait écrit en recommandé à cette
banque en joignant la liste des facturations impliquées sur les 5 dernières
années. Elle demandait simplement si ces facturations correspondaient « à la rémunération d’un examen particulier de la
situation du compte nécessité par la présentation d’une opération en l’absence
d’une provision préalable et disponible et ayant pour objet de décider du
paiement ou du rejet de l’opération »
La banque a
refusé tout commentaire et ce silence confirme les soupçons de
manipulation qui pèsent sur cet établissement
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