La
cour de cassation change les lois des mathématiques.
Cour
de cassation VS Pythagore et Euclide.
Le
tribunal du commerce de Saint Etienne, le 24 juillet 2019, vient de rendre un
jugement en faveur d’une banque.
Pour
ceci, il s’est référé à un incroyable arrêt de cassation qui remet en cause les
lois des mathématiques.
Il
s’agit d’une question de calcul du taux effectif global d’intérêts.
L’analyste,
rompu à cet exercice, a utilisé la méthode Hambourgeoise permettant de vérifier
la véracité d’un TEG.
(Capital
* TEG /100)/(365*nombre de jour) = montant des intérêts.
Le
nombre de jour de chaque période étant calculé en fonction des dates de valeur.
Une
erreur dans ces dates affecte le nombre de jours.
La
seule variable de l’équation étant le TEG, celui-ci sera automatiquement
affecté.
C’était
les anciennes règles des mathématiques. « La
cour de cassation, juge de façon constante qu’une éventuelle erreur liée aux
dates de valeur n’a aucun impact sur l’exactitude du TEG. »
Les
banques ont bondi sur cette jurisprudence qu’elles utilisent allègrement dans
les jugements contre leurs clients. (j’ai deux affaires sous les yeux avec
cette référence à la cassation).
Cette
aberration mathématique qui aurait value un zéro pointé à un candidat au brevet
des collèges, cette aberration mathématique est devenue loi pour les tribunaux
de commerce.
Il
faudrait soumettre la loi universelle de la gravitation formulée par Newton à
la cour de cassation. Elle serait immédiatement contredite.
Et
les pommes à terre retourneraient dans le pommier.
(Pour
ceux qui ont du mal à me croire, demandez moi le jugement concerné sur « gerard.kapper@gmail.com »
je vous l’adresse immédiatement )
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