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dimanche 26 novembre 2023

Un refus de prêt IMMO n’est plus un obstacle, Il existe deux banques plus cool


 

 

Prenons un exemple vécu. Vous demandez un prêt immobilier à une banque pour acheter une maison destinée à la location. Vous devrez fournir en personne de nombreux documents originaux.

 

Pièces d’identité pour les deux emprunteurs

Trois derniers bulletins de salaire

Attestation de l’employeur certifiant la stabilité de votre poste

2 dernières fiches d’imposition

4 derniers extraits de compte

Tous les contrats et extraits de crédits en cours

Projet financier de la maison à louer

De plus, le banquier fera une enquête sur la valeur de la maison plus une étude sur le marché des locations.

 

Il doit trouver dans vos revenus ou votre épargne, une capacité financière suffisante pour faire face aux aléas de la location : périodes sans locataire, travaux et remises en état, loyers impayés, squat, procédures, etc.

 

Vous l’avez compris, vous n’avez aucune chance d’obtenir ce prêt si votre banquier est soucieux de vos intérêts et veut protéger votre avenir.

 

Deux banques au moins ont compris le problème et ont considérablement assoupli les règles. C’est la BNP et le CFF.

 

Vous n’êtes plus obligé de présenter le prêt en personne. N’importe qui peut le faire.

Vous pouvez fournir de simples photocopies des revenus, des comptes et des impôts

Si les documents sont anciens ou non pertinents, il n’y aura aucune vérification

Aucune vérification de la valeur de la maison et du terrain

Aucune étude sur le marché de la location.

La banque se contentera de la photocopie d’une lettre d’intention d’une association n’existant pas et qui garantira tous ce qui pourra arriver de fâcheux.

 

Nous avons l’exemple de plusieurs familles qui ont souscrit des projets immobiliers.

Evidemment, le système s’est écroulé.

 

Les promoteurs ont été condamnés, mais pas la banque. La justice a estimé, comme aux Etats Unis dans l’affaire des subprimes, que les banques doivent être au-dessus des lois.

 

Ainsi, la BNP et le CFF ont toutes latitudes pour récupérer la résidence principale des malheureux clients, et de ne leur laisser que le RSA jusqu’à la fin de leurs jours.

 

Sous le regard bienveillant de la Justice à qui toute notion de Justice est totalement étrangère.

Pourtant les clients ne demandent ni compassion, ni pitié, ils demandent simplement l’application de la loi.

 

Aucune réaction non plus du ministre-écrivain qui a décrit en détail, dans son œuvre littéraire, ce qui arrivera aux clients.

 

 

 

vendredi 24 novembre 2023

La Banque Populaire peine pour trouver des mathématiciens niveau certificat d'étude



 
Établir les faits avant de se présenter au tribunal

Une cliente de la Banque Populaire m’a missionné pour déterminer le coût de ses découverts et le TEG inhérent.

Nous sommes spécialiste de ce genre de calcul. Pour cela nous reconstituons la vie du compte au jour le jour, examinons attentivement chaque frais pour savoir s’il est lié ou non au découvert et finalement établissons un rapport complet.

Celui-ci fait 61 pages d’explications et 113 pages de calculs, soit 174 pages.

Conclusion : les découverts lui ont coûté 23.238,47€ et le taux inhérent est de 286,24% en moyenne.



Une seule possibilité pour la Banque : récuser l’auteur du rapport.

Ce type de rapport, établi en collaboration avec Maître Debay, nous a déjà permis de gagner 29 fois devant les tribunaux et de convaincre à 5 reprise la Cour d’Appel de Paris.

Les experts de la banque savent très bien que ce rapport est exact, nous sommes de la même école.

Alors l’avocat de la banque n’a qu’une possibilité de remporter l’adhésion du juge : récuser le rapport en dénigrant son auteur, c'est-à-dire, votre serviteur attentionné.

Ils ont réussi à 4 reprises. Plus de rapport, donc plus de procès.



Cette attitude ne peut avoir qu’un temps.

J’ai une cinquantaine de dossiers de clients de la Banque Populaire, dont 7 « locomotives » défendues par notre avocate.

J’ai demandé, par l’intermédiaire de 2 clients, de rencontrer les experts de la banque  pour que nous puissions, entre professionnels, débattre des chiffres. Refus absolu de la banque.

Par contre, il semble maintenant impossible à la banque de me récuser. Alors ils ont eu une idée.

N’ayant visiblement personne en interne capable de calculer une échelle d’intérêts simple, et ne voulant pas me recevoir, ils ont fait appel à un cabinet parisien, spécialiste des calculs de risques pour les assurances. Donc, à priori, aucune compétence en matière de banque.



Quel est le profil de ce spécialiste ?



Ce cabinet regroupe des actuaires spécialistes en assurance.

Ils agissent notamment pour les assurances de personnes, l’assurance vie et la retraite, l’analyse de la situation financière des organismes assureur, les questions de réglementation prudentielles, etc...

Mon article n'est pas du tout une critique de l'auteur de ce rapport. Je ne peux que saluer ses compétences et son parcours, et lui témoigner tout mon respect pour sa carrière, mais force est de reconnaître qu’il ne semble pas pouvoir déterminer le coût de découverts et calculer le taux inhérent.



Que dit son rapport ?

En effet, j’ai son rapport sous les yeux. Il reprend les extraits de compte et recalcule simplement le montant des intérêts en fonction des montants débiteurs et du nombre de jours.

Il prend un taux au hasard, 14%, et va conclure que finalement, les calculs de la banque sont à peu près exacts.

Ca change de mes rapports qui ont une précision de 4 décimales.



Comment la banque utilise ce rapport ?

Et ce rapport permet à la Banque Populaire de conclure que le rapport établi par moi-même est inexact, alors que mes compétences bancaires surtout en la matière, sont reconnues par tous.

Tout ça parce qu’un expert actuaire et spécialiste des assurances a établi un vague calcul à partir de données inexactes (le taux).

J’ai fourni à notre avocate un contre rapport avec des explications très détaillées qui lui permettra de remporter l’adhésion du tribunal.



Je lance un appel de sagesse à la Banque Populaire

En conclusion. J’en appelle à la sagesse des responsables de la Banque Populaire. Ce rapport  va forcément se retourner contre vous lors de l’audience.

Il y a une quinzaine de dossiers identiques qui suivent.

Je pense qu’il sera inutile chaque fois de faire appel à des cabinets qui, au passage, doivent vous coûter une blinde.

Vous avez mon téléphone. Appelez-moi, fixons un rendez-vous pour discuter, entre spécialiste, de mes rapports.

Ça vous économisera les frais d’avocat, les frais de l’expertise, l’article 700, les dommages et intérêts, la perte de vos propres intérêts et la mobilisation de votre service juridique.

 

Les avocats qui défendent les banques ignorent souvent tout des techniques bancaires

 


Ah, l'audience au tribunal, cet endroit où l'absurde devient la norme, où l'ignorance règne en maître, et où les avocats de banque sont comme des poissons hors de l'eau dans un océan de finance. C'est presque comique, si ce n'était pas si tragique.

Comme le disait si bien le Duc de Morny, "Le summum de la politesse est d'écouter en silence, un ignorant parler d'un sujet dont vous êtes expert." Et je peux humblement prétendre être le champion toutes catégories de cette politesse. Vous savez, il faut être d'une politesse exemplaire pour écouter un avocat ignorant essayer de nous expliquer comment fonctionne la banque, alors que nous sommes déjà des experts en la matière.

Les banques ont bien compris qu'envoyer leurs spécialistes et techniciens serait une perte de temps, car, soyons honnêtes, nous avons tous fréquenté les mêmes écoles et obtenu les mêmes diplômes. C'est comme si deux magiciens essayaient de se bluffer mutuellement avec leurs tours de cartes.

La banque sait pertinemment qu'elle est dans le tort, que le client a raison, mais elle va jouer le grand jeu du bluff. Vouloir expliquer à un banquier que le taux usuraire est illégal, c'est comme dire à Escobar que le trafic de drogue est contraire à la loi. Ils feignent l'étonnement, mais au fond, ils savent que le jeu est truqué.

Et quand vous recevez les conclusions de l'avocat de la banque, c'est un véritable festival d’incompétence qui s'étale sous vos yeux. C'est de la mauvaise foi à l'état pur, une performance artistique de la tromperie.

Le combat au tribunal est une véritable épreuve, car en plus de prouver votre bon droit, vous devez démolir les arguments bancals d'un avocat dont le seul but est de vous déstabiliser et de gagner les faveurs du juge. C'est comme jouer aux échecs avec un pigeon qui renverse les pièces et se pavane ensuite comme s'il avait remporté la partie.

Notre mission aujourd'hui, c'est de plonger l'avocat de la banque dans le chaos de ses propres inepties, de l'envelopper dans ses contradictions, de le transformer en clown de la Cour. C'est la seule manière de lutter contre la stratégie des avocats des banques, qui consistent à récuser l'expert plutôt que d'attaquer l'expertise. Après tout, quand on ne peut pas gagner sur le fond, autant jouer sur la forme, n'est-ce pas ?

 

jeudi 23 novembre 2023

Pousser les clients à la ruine avec des prêts toxiques. A fucking good idea !

 

Ah, la peine de mort, cette vieille amie que l'on croyait disparue, mais non, elle a juste subi un petit relooking à la française. Fini la guillotine, trop brutale, trop directe. Aujourd'hui, on préfère pousser les gens au suicide, c'est tellement plus subtil, n'est-ce pas ?

Les Américains, ces maîtres de l'innovation, ont parfaitement maîtrisé cette méthode dès 1929, mais ils ont atteint leur apogée en 2008. C'est tout un art, vous savez.

Pendant ce temps, en France, quelques petits génies ont monté des arnaques à grande échelle, vendant la Lune à leurs clients crédules. Ils leur proposaient d'acheter des maisons en leur promettant monts et merveilles. Les prêts étaient distribués comme des bonbons, et les pauvres locataires se sont retrouvés à rembourser des crédits impossibles. Une idée de génie, n'est-ce pas ? Ou devrais-je dire, une idée de génie de l'arnaque.

Mais comment diable les banques ont-elles pu être complices de tout cela ? Eh bien, c'est simple, elles avaient leurs petits arrangements en interne, et la direction fermait les yeux. Après tout, si ça fonctionnait aux États-Unis, pourquoi pas en France ?

Les banques ont donc laissé entrer des "intermédiaires" sans aucune qualification ni mandat légitime pour représenter les clients. Les dossiers étaient truffés de photocopies, la plupart d'entre elles grossièrement falsifiées. Même un aveugle aurait pu s'en rendre compte.

Les clients ? Jamais vu par les banques, donc plus besoin de donner des conseils. Les maisons ? Surévaluées à 50 %, mais qui s'en soucie ? Une association bidon garantissait tout, de toute façon.

Alors, comme aux États-Unis, les banques ont distribué des prêts à tout va, en sachant pertinemment que les clients ne pourraient jamais rembourser. Et ainsi, les banques ont saisi les résidences principales de ces malheureux clients et ont laissé ces derniers avec juste de quoi survivre grâce au RSA.

Alors, vous vous demandez sûrement comment ces pauvres victimes des manigances bancaires réagissent ? Eh bien, voilà votre réponse. Une ironie noire, n'est-ce pas ?

 

VOYAGE AU BOUT DE L'ARNAQUE

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