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mercredi 17 janvier 2024

Les banquiers et leur ballet du découvert: Une invention géniale de mouvement perpétuel


 

Les banquiers, ces artistes méconnus de la finance, ont récemment révélé leur talent caché : l'invention du mouvement perpétuel financier ! C'est une symphonie absurde où le client est la star malheureuse d'un ballet de découverts incessants.

Imaginez cette scène : un client, innocent, découvre que son compte ressemble plus au désert qu'à une mine d'or. Mais au lieu de proposer des solutions simples comme payer en espèces, notre banquier en chef décide de pimenter les choses.

Il annonce fièrement : "Eh bien, mon cher client, vous venez de gagner le droit à une facturation spéciale pour compte squelettique !" Et hop, voilà que le compte vide se transforme en un terrain de jeu pour la vente forcée de crédits. C'est comme si le banquier organisait une braderie, mais au lieu de remises, il offre des découverts à tout va.

Mais là où le banquier devient le Shakespeare de la finance, c'est lorsqu'il déclare que le découvert n'est pas autorisé. Une pirouette verbale digne d'un cirque financier ! C'est tellement brillant que ça en devient comique.

Bien sûr, notre banquier ne s'arrête pas là. Il enchaîne avec une nouvelle danse de facturation, cette fois-ci pour des frais d'intervention pour un découvert soi-disant non autorisé. On se demande s'il a suivi des cours de comédie en plus de ses études en économie.

Et la cerise sur le gâteau : le client, en sueur, tente désespérément de régler sa facture. Mais au lieu de lui offrir une palette de choix de paiement, le banquier insiste pour lui accorder un nouveau crédit, transformant ainsi le compte en une piste de danse infinie.

C'est comme une version financière du film "Inception" : un crédit dans un crédit, dans un autre crédit. On pourrait presque appeler ça la "Banqueption". Et pendant que le client tourne en rond dans cette farce financière, on se demande : quand est-ce que ce tourbillon d'absurdité s'arrêtera ?

Peut-être par l'arrivée de l'huissier, ou d'une saisie spectaculaire ? Peut-être lorsque le client, épuisé par ce numéro, décide de clore le rideau sur son activité, précipitant sa propre déchéance financière, voire même son autodestruction ? Les banquiers, ces virtuoses du rire jaune et de la tragédie financière !

 

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